Ballade sous la neige [PV Ciel Phantomhive]

Il fait froid et la neige tombe à gros flocons. En même temps il est normal d’avoir ce temps pour les fêtes de noël. Tu n’apprécie pas particulièrement cette fête que tu juges utile seulement si on a des personnes avec qui la partager que se soit amis ou famille. Personnes que toi tu n’as pas. Cependant, tu as tout de même décidé d’aller sortir histoire de voir un peu les grandes vitrines décorés de toute sorte de couleur pour cet événement. Comme à ton habitude, tu n’es que très peu couverte même par un temps pareil. Tu t’équipe tout de même d’une petite veste en cuir noire histoire d’avoir un peu plus chaud. Puis tu sors de l’internat pour partir en direction des rues commerçantes.

Arriver à ta destination, tu avances tranquillement en faisant attention à ne pas bousculer tout le monde comme tu as l’habitude de le faire. Tu t’arrêtes aussi souvent devant les vitrines étant émerveillé par tant de jolie chose. Dans la rue est diffuser de la musique. Pas une musique habituelle mais diverse chants de noël. Bien entendu tu ne connais pratiquement aucune de ces musiques et pour faute, tu n’as jamais fêté noël. Tu connais que de nom ni plus, ni moins. Tu ne veux pas le célébré pourtant, en voyant tout ces enfants courir à droite à gauche en rêvant à ce qu’ils auront pour le 25 décembre tu te dis que tu pourrais tout de même préparer un petit truc. Pas grand-chose mais un bon repas, même si tu n’es pas ce qu’on peut qualifier de riche, et peut-être un petit quelque chose pour toi. Après tout il n’y a aucune lois qui empêche de s’offrir un cadeau à soi-même pour noël si ? Bref quoi qu’il en soit, durant ton petit tour de lèche vitrine, tu t’arrêtes littéralement devant un petit magasin où il y est vendu toute sorte de jouets. Tu lèves la tête afin de lire ce qu’il y a écrit sur l’enseigne « Phantomhive Toys ». Le nom donne envie d’y rentrais mais toi, tu n’oses pas trop. Après tout, tu ne sais pas si tu vas vraiment acheter quelque chose, de plus tu ne sais également pas ce que tu veux. Bref tu restes devant la vitrine à ne rien faire, juste à regarder les jouets avec grande envie.

Je marche dans les rues recouvertes d'un tapis blanc, la neige. Cette eau congelée et blanche me rapelle tant de souvenirs, j'en ai presque mal à la tête. Je n'aime pas beaucoup la période de Noël même si c'est pendant cette période que les affaires marchent le mieux. J'avance tête baissée, perdu dans mes pensées. Puis je passe devant le magasin "Phantomhive toys", il y a une fille qui se tien devant l'entrée du magasin, elle me donne froid à cause du peu de vêtements qu'elle porte. Des gens sortent et entrent sans faire attention à elle. Je m'avance à côté d'elle:

<< Tu peux entrer, il ne t'arrivera rien tu sais. Mise à part de te faire bousculer. >>

Tu es tellement occuper à fantasmer devant toutes ces belles créations que tu n’as même pas fait gaffe qu’une personne était venu à côté de toi.

<< Tu peux entrer, il ne t'arrivera rien tu sais. Mise à part de te faire bousculer. >>

Surprise t’entendre quelqu’un de parler, d’autant plus que tu faisais attention à ce qu’on ne te remarque pas, tu as tournée la tête pour voir de qui il s’agissait. C’était un enfant, vêtu comme quelqu’un de la noblesse. Tu n’aimes pas vraiment ce genre de personne. Ils se croient tous supérieur aux autres sous prétexte qu’ils sont plus riches qu’eux. Tu te souviens que dans ton ancien établissement il y avait quelque personne venant de famille plutôt aisé. Un jour tu as décidé de devenir ami avec une de ces personnes. Votre amitié c’est plutôt bien passer jusqu’à se que tu apprennes qu’elle se servait de toi et te considéré ni plus ni moins que comme un vulgaire animal de compagnie. C’est sans doute à cause de cette pitoyable histoire que tu en es venue à ne pas apprécier les gens de classe social relativement élevé.

Tu regardes le jeune enfant, à qui tu ne donnerais guère plus de 10 ans, intriguer du fait qu’il t’est remarqué. Tu ne sais toujours pas pourquoi il a décidé de te parler. Sans doute penses-tu qu’il connait les propriétaires de ce magasin voire même qu’il en est le fils. Cela expliquerait pourquoi il te parle et te dis que tu peux rentrée après tout qui y a-t-il de mieux que de faire de la pub pour sa famille ? Bref tu te redresses afin d’être droite et par la même occasion plus grand que lui, car oui tu as du mal avec les gens plus grand que toi allez savoir pourquoi, et t’apprête à lui répondre.


Après une courte pose et un petit moment de réflexion tu décides de continuer ta phrase.

Cette jeune fille fut étonnée de voir que je m'adressai à elle, elle se redressa et me dit:

<< Sans doute qu’il ne m’arrivera rien c’est juste que je ne sais pas vraiment si je peux me permettre de prendre ce genre de chose pour moi. Après tout je dois avoir passé cet âge là. >>

C'est vrai qu'elle devait être plus agée que moi, donc je comprends sa récation. Après tout, les jeux c'est pour les enfants.

<< Mais dit moi, que fait un gamin comme toi dehors et tout seul ? Tu devrais faire attention qui sais sur quel genre de personne tu vas tomber. Il serait plus sage que tu retournes avec tes parents. >>

J'aurais du m'en douter. Ca m'aurait étonné qu'elle ne me fasse pas de remarque sur mon age qui semble bas à cause de ma taille ...

<< Je sais que pour un enfant normal, se promener tout seul dans la rue n'est pas conseillé et qu'il doit être avec ses parents, mais moi non. Je ne peux plus être avec eux. >>

Je n'aime pas qu'on me traite comme un petit garçon sans défense et encore moins qu'on me dise que j'aille voir mes parents. Mais ce n'était pas de sa faute, je ne la connaissais pas. Je ne savais même pas son nom.

<< Au fait, je ne me souviens pas m'être présenté. Pardonnez mon impolitesse, je suis Ciel Phantomhive, enchanté de vous rencontrer. >>

A ces mots, tu compris ce qu’il voulait dire. Cet enfant avait perdu ses parents comment tu ne savais pas et tu voudrais bien le savoir. Cependant tu sais aussi qu’il n’est pas poli de poser de genre de question. Pour cette fois, tu devras faire taire ta curiosité. Tu reportes ton attention sur la jolie vitrine décorée de vert et de rouge couleur représentant noël. Tu aimes vraiment les jouets qui y sont présenté mais tu as aussi un peu honte d’aller voir de plus près de par ton âge. Bavant littéralement devant tant de jolies choses, tu prêtes à peine une oreille au jeune homme bourge qui est en train de te parler.


Tu n’as pas tout entendu mais tu as bien percuté son nom Phantomhive. Si il n’a plus c’est parents et que son nom est Phantomhive cela veux donc dire que c’est lui qui dirige ce magasin. Etonner, tu te retourne vers lui les yeux grands ouvert et le regarde. Comment un enfant aussi petit peut diriger une entreprise aussi grande, sur le coup tu n’y comprends rien. Comprenant de quoi il en retourne, tu t’incline devant lui avant de t’excuser pour avoir dit de tel propos sachant que cette personne a une certaine influence que tu ne veux surtout pas voir retombé sur toi.


Tu ne sais plus comment te comporter face à lui, tu es juste désemparée.

Je crois qu'elle avait compris que c'étais moi qui dirigeais ce magasin. Elle fit de gros yeux, ce qui ne me surpris guère. C'était même quelque chose de prévisible. Bien que je n'avais jamais vu quelqu'un qui était aussi émerveillée devant une vitrine, j'ai tout de même cru pendant quelques secondes que c'était la décoration qui l'attirait temps, mais non. Je le voyais dans ses yeux, elle avait un regard d'enfant, attiré par tout. J'aurais aimé savoir ce que cela faisait de ne plus se préoccuper de la façon dont nous devons nous comporter à cause de notre âge ou de notre rang juste quelques instant. Mais je ne pouvais pas, je ne le voulais pas.

<< Pardonnez moi, je n’ai pas fait gaffe à qui vous étiez pitié ne rendez pas ma vie plus pauvre qu’elle ne l’est déjà. Au passage je me nomme Ren. Komachi Ren enchanté. >>

<< Ce n'est rien. Je ne compte pas vous punir juste pour ça, il y a plus grave comme erreur. >>

Il faisait froid et la neige commençait à retomber. J'entra à l'ntérieur du magasin pour être à l'abri et surtout parce'que javais envie de voir si tout de passait bien à l'intérieur.

<< Je serais vous, je ne resterais pas sous la neige, surtout que vous êtes peu habillée. Et puis vous avez l'air d'avoir envie de voir ce qu'il y a à l'intérieur, non ? >>

Je fis un faux sourire, pour lui montrer que je ne lui en voulais pas.

La neige s’était remise à tombé et toi quant bien même tu ne crains pas le froid, tu as tout de même ressenti quelque frisson glacer de parcourir le dos. Tu te relevas et leva ta tête vers le ciel afin de pouvoir admiré de plus près cette neige que tu hais temps. Tu ne l’aime pas pour la simple et bonne raison qu’à cause d’elle, les gens ne sont plus dehors et le paysage se meurt lentement mais surement.
Ce paysage que tu aimes temps où en règle générale, les oiseaux emplissent le vide qui peut s’y trouver de leur joli chant. Ce même endroit où les enfants s’amusent à jouer au jeu que tu as aussi fait étant plus jeune, tout cela n’est plus à cause de la neige. Elle recouvre tout de son blanc immaculé et coupe tout son pouvant apparaitre. A cause d’elle c’est comme si toute la joie s’envolée pour laisser place à un lourd silence qui te déstabilise. Enfin tu dis ne pas l’aimer mais tu la trouves quand même belle. Quoi qu’il arrive sa couleur est comme apaisante et peu calmer les cœurs troublés. Tout du moins c’est ce que tu penses.
Tu décides de reporté ton attention sur le jeune, très jeune, propriétaire de cette adorable petite boutique de jouet. Ce dernier n’est pas fou, il n’est pas resté sous cette neige et s’en est allé s’abriter sous le porche du magasin.


Ce Ciel avait parfaitement raison, de plus il avait aussi très bien réussi à lire en toi quoi que ce n’est pas bien difficile il me semble. Tu acceptas son invitation et entra dans le magasin. A l’intérieur on pouvait y trouver de tout. Des jouets en bois, des peluches ou encore des poupées magnifiquement bien réussis. A la vue de tout ceci tes yeux se sont comme mis à brillait et tu n’avais qu’une envie faire le tour encore et encore. Tu as beau être plus âgée, tu n’en es pour le moins pas aussi mature que tu le devrais. Enfin cela ne te gène pas plus que ça après tout tu en as l’habitude.

Ren entra finalement dans le magasin. Il y avait des enfants avec leurs parents, et j'avoue qu'il y en avait moins que ce que j'imaginais. La plupart étaient étonnés de voir quelqu'un comme moi se balader dans ce magasin, mais c'est normal puisqu'ils ne savent pas que j'en suis le propriétaire. Mais je pense que c'est surtout Ren qui intriguiat tout le monde. Avec ses cheveux rouges/roses, elle ne passait pas innaperçu. Ils pensaient peut-être que c'était ma soeur, mais je ne crois pas puisque c'est la première fois "qu'on se ballade ensemble dans le magasin". Et puis une enfant presque adulte dans ce genre de magasin, ce n'est pas courant, mais bon. Je continuai de marcher regardant chaque rayon, chaque jouet, en m'imaginant tout ce que j'aurais pu demander comme cadeaux, mais finalement, je préférais ne pas y penser trop longtemps. Mon regard s'arrêta sur une poupée qui avait des cheveux rouge, comme ceux de Ren. Je me mis à rire un petit peu en voyant la ressemblance. Hormis les vêtements, ça aurait pu lui ressembler beaucoup. En parlant de Ren, où était-elle passée ? Je cois que je l'avais semé sans m'en rendre compte. Heuresement que le magasin n'est pas gigantesque mais il est grand quand même. J'aurais pu partir en la laissant là mais ce n'est pas poli. En soupirant, je m'avança vers les autres rayons en espérant la retrouver vite, car je n'aime pas perdre mon temps. Mais pour je ne sais quelle rasion, j'avais gardé la poupée dans la main.

Tu as commencé à faire le tour, une fois, puis deux, en fin de compte tu refais encore et encore le tour tellement tu aimais les jouets qui y étaient entreposer. Tu t’arrêtais toutes les deux minutes devant tel ou tel objet commençant à t’extasier dessus comme un môme de quatre ans aurait pu le faire.

Haaa si seulement tu avais eu de l’argent… Oui si tu n’étais pas aussi pauvre tu aurais volontiers achetais tout ce qui te serais passé sous la main. Cependant ce n’était pas le cas et tu dois juste te contenter de regarder sans emporter. Cette pensée de donna un peu de chagrin, mais il t’eut suffi de tourner la tête sur un des côtés pour vite oublier cette peine et être de nouveau en extase sur autre chose. C’est ce qui est bien avec toi, tu es aussi lunatique qu’un phacochère schizophrène perdu dans une grande ville. Ainsi donc tes peines s’envole bien vite, remarque il peut en être de même pour tous tes sauts d’humeurs ho combien irritant.

Sans t’en rendre compte, le jeune Ciel qui t’accompagnait t’avait littéralement perdu. Il ne restait donc plus que toi et tous les autres enfants cherchant eux aussi un joli présent à avoir pour noël. Tiens en y repensant, tu n’as toujours pas décidé si tu allais prendre quelque chose pour toi ou non. Tu fouillas dans la poche de ton habituelle sweet délavé et en retiras quelque pièce. Pas grand-chose mais assez pour prendre un petit truc pas trop chère, enfin tu l’espères.

C’est alors que en levant les yeux au plafond pour on ne sait qu’elle raison, tu aperçus une petite cabane en bois en haut de l’étagère qui se trouve en face de toi. Voulant l’attraper, tu commences donc à escalader les étagères. Quand bien même tu es grande, il t’est encore impossible t’atteindre le haut d’un rayon de magasin sans faire le moindre effort. Bref toi, tu montes, les autres autours ne prêtent guère attention à toi, pourtant il le devrait. Ayant enfin atteint le haut, tu saisis le petit objet en bois et comme par hasard tu t’étales par terre. Comme notre chère amie la gravité doit sérieusement avoir une dent contre toi, tu te retrouves ensevelis sous une tonne de jouets et ta précieuse cabane dans les bras. A ce moment précis tu n’espères qu’une chose, que rien ne soit casser car tu n’auras jamais assez d’argent pour rembourser tes bêtises…

Je marchais, encore et encore, faisant le tour du magasin, parcourant chaque rayon, en m'arrêtant deux, trois fois devant certains objets. Toujours la poupée dans la main. Je fit un autre tour pour retrouver le rayon ou j'avais pris la poupée. Je l'avais trouvé plutôt facilement. Je reposai la poupée quand j'entendis un bruit que je n'avais pas l'habitude d'entendre dans cet endroit. Quelque chose était tombé .. ou quelqu'un ! J'oubliai 30 secondes Ren, en me précipitant vers l'endroit où il me semblait s'être passer quelque chose. Je n'eu pas le temps de dire un mot que je remarquai tout de suite qui c'était. Ren. Elle était étendue par terre sous une pile de jouet. Elle était à plaindre, c'était des jouets en bois. Je m'avança vers elle et dis en retirant les jouets.

<< Vous allez bien? Vous ne vous êtes pas fait mal j'espère. >>

La sécurité arriva à toute vitesse, mais par chance pour Ren, repartit aussitôt en voyant que j'étais là. Je tendis ma main vers elle pour l'aider à se relever.

Te voilà donc enseveli sous une tonne de jouet en bois et tout les regard braquer sur toi. A croire que tu ferais une excellente bête de foire… Alors qu’on te voyait à peine sous cette pile de jouet, une personne s’approcha de toi. Tu essaies, tant bien que mal, de sortir la tête afin de voir de qui il s’agit. Cette personne a dut remarquer que tu galérais vu que cette dernière t’aida à retirais la charge qui t’étais tombée dessus.


Il s’agissait de Ciel, il te tendit la main afin de t’aider à te relever. A ce même moment la sécurité arriva, sans doute pensant que tu étais un vulgaire fauteur de trouble. Bizarrement, en voyant le jeune Ciel, ces derniers sont repartis aussi sec. Pour expliquer ceci que deux solutions. Soit Ciel a beaucoup d’influence, normal vu qui dirige ce lieux, soit, ils ont vraiment eut pitié de toi.

Quoi qu’il en soit, tu pris la main du jeune homme sans hésitation puis, une fois sur tes deux jambes, tu t’es éloignée des étagères comme si tu avais peur de faire encore une bêtise. Par chance rien n’avait été cassé ou abimer. Tu regardas alors Ciel afin de répondre à sa question posé plus tôt et dans un petit rire gêné de lui causé des problèmes tu lui répondis.


La tête dure, oui sa tu l’as ! En revanche pour ce qui est du contenue… Bha autant dire que c’est pas le cas. Quoi qu’il en soit tu te retrouves avec une horrible bosse à laquelle tu ne fais même pas gaffe. Tu es trop pressée d’acheter la petite cabane en bois que tu as trouvé. Elle est pas donné, tout du moins par apport à tes moyens mais tu t’en moques, de toute façon c’est noël alors autant faire un effort. Cette cabane n’est pas pour toi, tu comptes en réalité l’offrir à quelqu’un en guide de cadeau d’amitié. Ce n’est pas ce qu’il y a de mieux mais c’est tout ce que tu peux faire. Tout du moins pour l’instant car oui, tu comptes bien gagner plus d’argent cette année. Quitte à multiplier les petits boulots s’il le faut !

Suite à ton combat mental pour te donner du courage pour cette année, tu commences à ranger ce que tu as fais tomber en vérifiant bien minutieusement s’il y a ou non quelque chose de casser.

Ren pris ma main et se releva.

<< Excuse moi je voulais juste voir de plus près un de ses jouets et, douée comme je suis, je suis tombée. Ne t’en fais il en faut bien plus pour me faire vraiment mal. J’ai la tête dure ! >>

La tête dure ? Bon, si elle le dit. Elle avait l'air determinée à acheter la cabane qu'elle tenait dans ses bras. C'est vrai qu'elle est jolie cette cabane. Elle commença à ranger ce qu'elle avait fait tomber. Voyant qu'il y avait beaucoup de choses, je l'aidai. Evidemment je n'avais pas pensé que l'étagère était haute, trop haute pour moi en tout cas. Mais si j'aurais laisser le jouet à sa place, par terre, ça aurais donner l'impression qu'en fait je ne voulais pas l'aider ... Tant pis. Je tendis le bras et me mis sur la pointe des pieds mais en vain, j'étais officiellement trop petit. Ca m'énervais presque. J'essayais de tendre le bras encore plus mais je ne pouvais pas . Je lachai un soupir. Ren n'avait pas de mal à atteindre l'étagère, enfin moins que moi. Je recula un peu pour avoir un peu d'élan et retentai de poser ce fichu jouet sur l'étagère en sautant un petit peu, mais tout ce que j'arrivai à faire c'était de faire tomber un autre jouet. Décidement, ce n'était pas mon jour de chance.

Le jeune Ciel décida de toute évidence de t’aider car ce dernier commença lui aussi à ramasser et ranger les jouets en bois dans les étagères. Sans vraiment prêter attention à ce qui t’entoure, tu continues de ranger les jouets les uns après les autres. Étant grande tu arrives sans problème à en atteindre le haut, tout du moins pour la plus part.

Tu prêtes soudain attention à ce qu’il y a autour de toi, sans raison précises tu en as juste eu envie. Là, tu te rends compte que le pauvre Ciel a vraiment du mal à atteindre le haut à cause de sa petite taille et de son jeune âge. N’étant pas assez intelligente pour aller l’aidé tout de suite, tu le regardes faire encore un peu. Alors que des jouets allaient lui tomber dessus tu passas derrière lui pour les rattraper. Tu l’as ensuite porté afin qu’il puisse atteindre le sommet de l’étagère et pouvoir ranger le jouet qu’il tenait en main.

Dans un petit rire, pas mesquin, tu lui dis avec ton habituel sourire aux lèvres.


Puis le reposant à terre tu cherchas du regard ou pouvait bien se trouver la caisse pour payer.

(désoler c’est vraiment très court ^^’ mais je pense que je vais bientôt finir le rp si ça te gène pas)

(Non, ça me gène pas du tout ^^ )

Je continuai tant bien que mal de poser ces jouets sur l'étagère du haut. J'aurais pu les poser sur les étagères qui était à ma taille, mais j'aime que tout sois bien rangé à sa place. Je vis qu'un jouet tombait de l'étagère mais une main le rattrapa juste à temps. La personne qui avait rattrapé l'objet me porta ce qui me permis -enfin- de poser le jouet que j'avais en main depuis quelques minutes. Je vis que c'était Ren qui m'avait aidé. Elle me dit en riant un peu :

<< Il fallait demander de l’aide tu sais, cela aurais été plus simple pour toi je pense. Heureusement que je suis là, tu te serais pris des jouets sur la tête comme moi sinon. >>

C'est vrai que j'aurais pu lui demander de l'aide, mais je n'ai pas voulu. Je n'ai pas osé.

<< Je ne voulais pas te déranger juste pour si peu. Mais merci quand même. >>

Ren regardait à droite, à gauche. Elle cherchais surement quelque chose. Peut-être la caisse.

<< Suis-moi, la caisse est par ici. >>

J'avançai vers la caisse.

(Tu dis que c'est court mais moi j'ai pas fait mieux >.<)

Il ne voulait pas te déranger ? Tu as trouvé ça attendrissant. Comme si une personne pouvait de déranger. Pour cela, il faudrait déjà que tu sois occuper à faire quelque chose important ou digne de se nom hors, ce n'est absolument pas le cas. Ce n'est même jamais le cas...

Le jeune Ciel c'est sans aucun doute rendu compte que tu cherchais quelque chose vu qu'il a essayer de t'aider à le trouver.


Bluffer. C'est tout ce que tu as été. A partir de maintenant, tu vas le prendre pour un medium ou un diseur de bonne aventure. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il a deviné ce que tu cherchais du regard sans pour autant le trouver.

Tu suis donc Ciel comme le ferait un enfant perdu et, te retrouve devant la caisse à payer ton achat. Félicitation ! C'est officiel tu est maintenant pauvre ! Tu ne sais pas ce que tu vas pouvoir manger se soir mais ce n'est qu'un détail sans importance.
Alors que l'article vient d'être payer, tu te tournes de manière à faire face à Ciel et, dans un grand sourire plein de joie, tu lui tends la petite cabane en bois que tu viens d'acheter en disant la chose la plus simple et normal au monde en cette période de fête.


(si tu veux répondre une dernière réponse fait le sinon, envoie moi un mp pour que je précise que le rp est fini et désoler du retard de la réponse)

Ren me suivit vers la caisse. Elle avait l'air heureuse d'avoir trouvée son bonheur. Elle acheta la petite cabane. Je m'avança vers la sortie de la boutique qui n'était pas très loin de la caisse. Je regarda si Ren me suivait et je vus qu'elle avait toujours son grand sourire. Elle me tendit la petite cabane qu'elle venait d'acheter et me dit d'un ton joyeux:

<< Joyeux Noël ! >>

Elle venait de me l'offrir. Je fus d'abord étonné. Je pris la petite maison en bois entre mes mains. Son cadeau me faisait chaud au coeur. Je n'en avais pas eu de si joli depuis longtemps. Je leva la tête et lui dis en souriant:

<< Merci beaucoup. Joyeux Noël à toi aussi. >>

J'étais quand même angoissé. On venait de m'offrir quelque chose mais je n'avais rien à donner en retour. J'espèrais que Ren ne m'en voudrait pas. Elle n'avait pas l'air de ce genre donc cela ne m'inquiétait pas trop.

<< J'espère que nous allons nous revoir bientôt. >>

Je lui adressa un dernier sourir avant de m'enfoncer dans la foule. Il y avait moins de monde que lorsque j'étais arrivé un peu plus tôt. Je tenais fermement le cadeau de Ren dans mes bras pour éviter de le faire tomber ou de le perdre. Pour moi ce n'était pas un cadeau de Noël d'une simple personne. C'était un cadeau d'une amie. La prochaine que nous allons nous rencontrer, je lui offrirais quelque chose.

En rentrant chez moi, je posa la petite maison sur une étagère où il y avait des tas de choses. Elle était posée sur la rangée du milieu, celle à ma hauteur, au centre.