Une petite visite improvisée [PV Ryûzaki Ryoushi]

Je passais devant le loft de Ryûzaki, lorsque je vit la porte entre-ouverte. Quel fou! Laisser sa porte ouverte alors q'il n'est peut-être pas là. Bon, vu que j'étais en période de générosité et que j'avais du temps devant moi, je suis allé lui signaler.

<< Ryûzaki, tu es là? C'est Ciel. J'ai vu ta porte ouverte donc je me suis dit que te prévenir était la meilleure des choses à faire.>>

J'entrai en refermant la porte derrière moi puis je m'avançai vers le salon.

J'avais travaillé avec acharnement depuis un mois, j'ais finit par m'éfondré sous tout mes papiers. Journeaux, textes, lettres, récits... Je suis intéréssé par l'histoire, le passé, le présent et le futur, quand j'ais la possibilité de savoir et changer les choses, je ne peux y resister...

<< Ryûzaki, tu es là? C'est Ciel. J'ai vu ta porte ouverte donc je me suis dit que te prévenir était la meilleure des choses à faire.>>

Je me réveilla doucement, cherchant à savoir l'identité de ce nouveau visiteur, je cherchait des macarons dans une boite. Plus rien... Tant pis, je me ferais un café aujourd'hui. Je me levai puis fit un jeune homme d'une aura..."bleuté". Aucun doute... il sagit du comte Ciel Phantomhive.
D'un ton neutre je lui répondu en bacsulant ma tête :

<< Phantomhive... *regarde la porte* Tu as sûrement raison, je n'ais pas dû faire attention... Merci de m'avoir prévenu.>>

Il vint vers moi et me dit d'un ton neutre :

<< Phantomhive... *regarde la porte* Tu as sûrement raison, je n'ais pas dû faire attention... Merci de m'avoir prévenu.>>

<< Derien, c'est la moindre des choses. Je peux m'asseoir?>>

Je n'attendis pas sa réponse même si c'était impoli de ma part et je m'assis sur une chaise. J'avais mal aux jambes donc m'asseoir était ma priorité. Je remarqua qu'il avait une tête de quelqu'un qui ne dormait presque jamais.

<< Excuse-moi mais je suis épuisé. Mais dis-moi, tu n'a pas l'air de dormir souvent. Tu travailles beaucoup? >>

J'avait le droit de savoir ce qui l'avait poussé a laisser sa porte ouverte après tout.

Il s'assitsur une chaise près de la télévision. Je rangeais mes papiers rapidemment, les mis dans des pochettes et les mis dans des boites situer dans des placards. Le silence se brisa :

<< Excuse-moi mais je suis épuisé. Mais dis-moi, tu n'a pas l'air de dormir souvent. Tu travailles beaucoup?>>

J'ignorais que je donnais cette impression... Pourtant quand je me regarde dans un glaçe j'ais l'air en forme... Je pris un café en apportant une tasse de thé à Phantomhive.

<< He bien... il est vrai que je dors peu mais ma santé en reste intacte, en ce qui concerne ta seconde question... Je ne travailles pas tant que ça en faite.>>

Il m'apporta une tasse thé et me dit:

<< He bien... il est vrai que je dors peu mais ma santé en reste intacte, en ce qui concerne ta seconde question... Je ne travailles pas tant que ça en faite. >>
<< Vraiment? >>


Je bus une gorgée du thé que je trouvais très bon et reprit.

<< Pourtant tu donnes l'impression que tu travailles d'arrache pied sur un sujet, que tu ne comptes pas me dire et que de toute façon, je ne veux pas savoir. >>

J'avoue que ma curiosité faisait surface mais je ne voulait pas avoir l'air trop curieux tel un petit enfant.

<< Pourtant tu donnes l'impression que tu travailles d'arrache pied sur un sujet, que tu ne comptes pas me dire et que de toute façon, je ne veux pas savoir. >>

Rien qu'en l'observant je peux comprendre qu'il veux savoir, mais sans question, je ne peux répondre... Je changeais donc légèrement de sujet.

<< Si vous le dites, je vous crois... Oh faites, Phamtomhive, ce thé avec peu de sucre vous plait-il ?>>

Je partis me chercher un paquet de patisseries et en proposa à Ciel. Je mangeai pendant ce temps, et à mon habitude, le pignet levé.

<< Si vous le dites, je vous crois... Oh faites, Phamtomhive, ce thé avec peu de sucre vous plait-il ?>>

Il partit cherché des pâtisseries et m'en proposa une, que j'accepta volontiers.

<< Oui, c'est très bien ainsi. >>

Je me demandais si il m'avait mis peu de sucres parce'qu'il était radin, ou parce'qu'il savait que j'aimais. Je préfèrais me dire que c'était la deuxième option.

<< Tu manges tout le temps ou c'est moi ? >>

Je ne savais pas ce que j'avais aujourd'hui, mais je lui posait beaucoup de questions. Peut-être parce'que je ne le connaissait uniquement car j'avais entendu parler de lui, et que je désirais en apprendre plus.

Phantomhive prit une sucrerie et me demanda .

<< Tu manges tout le temps ou c'est moi ? >>

<< Vous avez raison, je me nourris souvent et essentielement de sucre pour me garder totalement éveiller et resté concentré.>>

Il est vrai que se nourrir que de sucre est mal mais ce n'est que le matin... ou le soir... enfin bref, il y a un temps pour tout, je mangerais un bole de riz plus tard...

Le silence s'installa, je sortis des documents pour m'occuper.

Code couleur de ma police : #6666FF

<< Vous avez raison, je me nourris souvent et essentielement de sucre pour me garder totalement éveiller et resté concentré.>>

Ce n'était pas bête comme idée de pub pour la société Phantom.

<< *sourire en coin* Tu es vraiment quelqu'un de spéciale. J'apprécie ta compagnie. >>

C'est vrai qu'il était sympas ce Ryuzaki. Moi qui croiyais qu'il était solitaire, qu'il ne supportais pas les gens comme moi et bien je m'étais trompé. C'était un homme d'une grande intelligence et d'un respect sans pareil. Pour être franc, je l'admirais presque.

<< *sourire en coin* Tu es vraiment quelqu'un de spéciale. J'apprécie ta compagnie. >>

<< Et bien, merci. Pour être honnête, je doit avouer que vous m'avez aussi surpris. D'habitude on me demande de rajouter du sucre dans mon thé.>>

En continuant de lire mes documents je vis des informations sur une certaine société Phantom. J'y pense il me reste une partie de leur patisserie. Je partie en chercher, tenant une sucette avec le seau Phantom, je m'empressai donc de la manger. Mmm... c'est pas mal mais rien de vaux les patisseries que l'on m'offrait à la Wammy's House. Enfin, pour moi une sucrerie reste une sucrerie... D'ailleurs j'y pense, il faudrait que je pense à gouter celles du Butlers Coffee.

<< Et bien, merci. Pour être honnête, je doit avouer que vous m'avez aussi surpris. D'habitude on me demande de rajouter du sucre dans mon thé. >>

Pourquoi vouloir rajouter du sucre, alors que avec peu, c'était parfait? Il partit chercher une sucette avec le sceau Phantom.

<< Ne t'inquiète pas que si je voulais plus de sucre, je te l'aurais signalé tout de suite. >>

Je finis ma tasse de thé.

<< Tu dois aussi te demander, comment je te connais. Car à moins de perdre la mémoire, je ne me souviens pas t'avoir déjà rencontré. >>

<< Tu dois aussi te demander, comment je te connais. Car à moins de perdre la mémoire, je ne me souviens pas t'avoir déjà rencontré. >>

<< Vous vous trompez, je ne me demande pas comment, j' "imagine" comment. De ce fait, j'imagine et fait l'hypothèse que vous avez entendu parlez de moi à l'université où je passe parfois, de ce faite, j'en conclu donc que vous y faite partie; car on ne peux entendre mon identité que là-bas.>>

Je rengeai mes documents, bû un verre d'eau et me fis un bol de riz, je le finis en un rien de temps. Je revins et dit :

<< Excusez-moi mais, avant de passer chez moi, où contiez-vous aller ?>>

<< Vous vous trompez, je ne me demande pas comment, j' "imagine" comment. De ce fait, j'imagine et fait l'hypothèse que vous avez entendu parlez de moi à l'université où je passe parfois, de ce faite, j'en conclu donc que vous y faite partie; car on ne peux entendre mon identité que là-bas. >>

Il avait deviné la façon dont je le connaissais. Il rengea des document partit manger puis revint.

<< Excusez-moi mais, avant de passer chez moi, où contiez-vous aller ? >>
<< Tu as vu juste, j'ai effectivement entendu parler de toi. Et pour ne pas te mentir, je comptais aller faire un tour en ville, mais pévenir qu'une porte est ouverte, était pour moi plus important. >>

Je ne savait pas si il attendait une information particulière de ma part, mais si il voulait une réponse, je la lui donnerai. Pour moi, c'était une personne digne de confiance.

<< Tu as vu juste, j'ai effectivement entendu parler de toi. Et pour ne pas te mentir, je comptais aller faire un tour en ville, mais prévenir qu'une porte est ouverte, était pour moi plus important. >>

Je regardais par la fenêtre, c'était le couché de soleil. Le moment de la journée que je détestait le plus, celui qui me met en état de crise. J'espère qu'un corbeau ou un chat noir ne passera pas devant cette fenêtre... Je m'était légèrement levé, fixant l'horizon en m’agrippant les bras comme si un frison me traversait. C'est faux, ce n'est pas un frisson qui me traverse, mais la peur, des milliers d'aiguilles.
Je m’apprêtai à ronger mes ongles, cependant en les observant, je refermai mon poing et partit dans la cuisine et sortit un énorme bocal de sucrerie que je m’en pressait bruyamment de dévoré tout en restant concentré dans mes pensés qui me contrarièrent légèrement. Je marmonnai :

<< Taisez-vous, taisez-vous, taisez-vous. Silence. Arrêtez ça. Stop.>>

Bien sûr le bruit des sucrerie cassées camouflait tout cela en un brouhaha incompréhensible. Je n'aurais jamais du laisser cette porte ouverte...

Ryuzaki avait l'air stréssé. Il partit cherché un bocal de bonbos qu'il mangea bruyamment, ce qui m'étonna venant de sa part.

<< Taisez-vous, taisez-vous, taisez-vous. Silence. Arrêtez ça. Stop.>>

On aurait dit que quelque chose le génait. Des voix, un peu comme moi avec ma bague, lorsque je ferme les yeux, mais c'était pire.

<< Ca ne va pas ? On dirait que tu ne te sens pas très bien. >>

Quand Ciel me parla, je m'arrêtai net. Je tournai légèrement ma tête pour lui montrer que je m'adressai bien à lui.

<< Ne t'en fais pas... c'est normale. Je vais bien, merci.>>

Je parti dans ma chambre, le prit une couverture et l'a mit sur mes épaules, je pris aussi une peluche de panda équipé d'un grand ruban noir. J'avais l'air d'un enfant tourmenter, mais grâce à cela je pouvais resté en état de calme. J'allumai la télévision en ignorant Phantomhive, je regardai un animé sur Londres au XVIIIe siècle, puis pris parole.

<< Vous feriez mieux de partir...>>

<< Ne t'en fais pas... c'est normale. Je vais bien, merci.>>

Il me tutoyais? Peu importe. Il prit une peluche en forme de panda, une couverture qu'il mit sur ses épaules et alluma sa télévision. Je ne le comprenais pas vraiment. Il était comme perdu dans ses pensées. Il reprit :

<< Vous feriez mieux de partir...>>

Il n'avait pas tord. Je m'étais tout de même invité chez lui, donc c'était normal qu'il me demande de partir à un moment comme à un autre.

<< Tu as raison, je ne devrais pas t'embêter plus longtemps. Au revoir et merci de m'avoir reçu, Ryûzaki. >>

Je passa le seuil de la porte en prenant soin de refermer la porte derrière moi. Elle n'était certe pas fermé à clé mais au moins, il était un peu près sur de ne plus reçevoir de visite de ma part à cause de sa porte. Je partit donc en ville, ma destination principale.

Lorsque je vis Ciel partir, j'éteignis la télévision et fermai les rideaux des fenêtre. Je voyais quand même grâce a un jeux de lumières causé par les rideaux, j'étais comme dans un jardin d'étoiles. Je me tenu droit et fixai le bocal de sucrerie dans la cuisine, je le saisi et le jeta contre un mur. Je me cachai les yeux et m'assis contre le mur où j'avais briser le bocal. Au bout d'un moment je regardait un carnet et tombai sur un vieux portrait fait par la personne qui m'avait offert.

*:

Le dessin à la main, je m'endormi, le visage caché par mes cheveux.

Le lendemain, je fis le ménage, la maison était comme neuf, quand à moi j'étais de nouveau voûte. Je pris une douche, un serviette autour du cou, je me promenait avec ma peluche, regardai le carnet avec des dessins qu'un personne chère à mes yeux m'avait offert. Je fini par m'endormir dessus.

J'avait envie de faire un tour en ville puis je repassa devant le loft de Ryûzaki. La porte était fermé, miracle. J'avais quand même envie de passer lui dire bonjour, mais c'était impoli de ma part. En plus il n'a pas l'air d'être là...Bon tant pis pour la politesse. J'arrive devant la porte, hésitant à toquer. Finalement je toqua à la porte.

On frappai à la porte, je me réveilla et alla ouvrir en me frottant ma tête. C'était Phantomhive.

<< Oh, c'est vous ? *met le dos de sa main devant sa bouche et baille* Entrez, je vais vous préparez un thé...>>

Je le laissai s'installer en fermant la porte derrière lui puis prépara un thé d'une boite qui "passait par là". C'était un earl grey, je versai le thé dans une tasse orné d'un bleu de la même nuance que la pierre de la bague de Phantomhive. Il s'était assit au même endroit que la dernière fois, je pris un carnet contenant des photos de quelques bon endroit de la ville et déposa le tout devant le comte.

<< Ce sont des endroits qu'un ami et moi avons visiter ensemble, cela pourrait vous "aider" à vous orientez dans la ville, le plan est à la fin. Le thé est un earl grey, j'espère que vous aimez ça.>>

Il vint m'ouvrir.

<< Oh, c'est vous ? Entrez, je vais vous préparez un thé... >>

Il n'avait pas l'air étonné que je lui rendais encore une visite. J'allai m'installer au même endroit que la dernière fois pendant qu'il était partit me préparé un thé. Il m'apporta le thé avec un carnet remplis de photos et ajouta:

<< Ce sont des endroits qu'un ami et moi avons visiter ensemble, cela pourrait vous "aider" à vous orientez dans la ville, le plan est à la fin. Le thé est un earl grey, j'espère que vous aimez ça. >>
<< Oui, j'adore ce thé. Et merci pour le plan, ça pourrait m'être utile à l'avenir, et sa m'empêchera surtout de m'inviter une fois de plus chez toi. >>

Je commencai à regarder les photos en buvant ce thé délicieux lorsque je remarqua qu'il y avait un carnet posé pas loin. Je le pris pour feuilleter les pages, et je vis des dessins, de très beau dessins pour être franc.

<< Excuse-moi de l'avoir regardé sans ta permission mais c'était plus fort que moi. Ce sont de très beau dessins, c'est toi qui les a fait ? >>

Je le reposa, et repris les photos.

<< Oui, j'adore ce thé. Et merci pour le plan, ça pourrait m'être utile à l'avenir, et sa m'empêchera surtout de m'inviter une fois de plus chez toi. >>

Il regardait les photos en buvant son thé et prit ensuite le carnet où se trouvait le portrait que j'avais vu plus tôt, je n'eu pas le temps de paniquer car Phantomhive le reposa en disant :

<< Excuse-moi de l'avoir regardé sans ta permission mais c'était plus fort que moi. Ce sont de très beaux dessins, c'est toi qui les a fait ? >>

<< Non pas vraiment et c'est...une amie qui les a fait.>>

Je pris le carnet et le rangeais dans un placard derrière moi. D'apparence la maison parait vide mais si on regarde dans les placards on y trouve, soit des peluches et friandises, soit des vêtements ou soit de nombreuses caisses de documents.

<< Non pas vraiment et c'est...une amie qui les a fait. >>

Une simple amie? Je lui aurais bien demandé, mais se mêler de la vie privée des gens est impoli, surtout venant de ma part...

<< Je me disais aussi que tu n'avais pas l'air de quelqu'un qui est douer pour le dessin. Ne le prend pas mal! >>

Je finis mon thé, puis ma curiosité fit surface, j'avais envie de fouiller partout, voir ce qui se cache dans les moindres placard, les moindres tiroirs, chaque pièce ...

<< Je ne sais pas si je suis si doué que ça mais je fais des cours de dessin à l'université de la ville, de temps en temps...>>

Je remarquai que l'intention de Phantomhive se portait vers mes placards. Je me frotta la tête puis me leva :

<< Je vais m'acheter des médicaments, je reviens. Ne touchez à rien pendant mon absence je vous pris.>>

Je partis donc m'acheter des médicaments. Quel genre de médicaments ? Des somnifères, des calments... J'ais besoin de repos mais mon esprit refuse de se reposé, alors... je vais faire en sorte à ce qu'il m'obéisse.

<< Je vais m'acheter des médicaments, je reviens. Ne touchez à rien pendant mon absence je vous pris. >>

Me demander de ne pas faire quelque chose que j'ai envie de faire...c'est tout simplement impossible. Mais vu qu'il me l'avait demandé, je n'avais pas le choix de ne pas bouger et attendre qu'il revienne. Les minutes passèrent mais je finis par céder. Je m'avança donc vers les placards, les ouvrit un par un sans rien déranger. Je fit de même pour les autres pièces mais rien d'intéressant. J'étais étonné et déçu de n'avoir rien trouver... Je me dirigea donc vers la chambre qui était le seul endroit que je n'avais pas encore "fouiller". J'entra et regarda un peu partout pour voir si il n'y avait rien de suspect. J'avais quand même peur de me faire attraper. Il y avais des boîtes des médicaments vides, et la fameuse peluche panda poser soigneusement sur le lit. C'était sur, il n'y avait absolument rien d'intéressant dans cette maison.