Sombre journée... [ Fini ]

Il faisait beau et chaud les petits oiseaux chanter encore sans compter que la nature était majestueuse… Non c’est pas vrai, aujourd’hui est un temps pourri il pleut comme pas possible et il n’y a qu’une cruche dehors. Bravo vous avez deviné il s’agit belle et bien de moi Ren la petite folle qui doit être maso pour sortir à moitié habiller sous un temps pareil. Bon c’est pas comme si j’étais dehors par ce que je le voulais, j’y suis par ce que j’ai oublier mon parapluie dans le parc hier soir du coup je me suis sentie obliger d’aller le chercher. Manque de bol il pleut.
Je cherchais se maudit parapluie un peu partout quand je compris enfin que l’on me l’avait sans doute volé quoique… Ce n’est pas vraiment volé puisque je l’ai laissé là. Disons qu’on me l’a emprunté sans me le rendre. Prise de désespoir je me suis assise sur un banc, trempé logique, et me suis contentée de regarder la pluie tombé de plus en plus violemment. Sans doute je croyais à un miracle, que quelqu’un viendrait ici me disant qu’il a trouvé un parapluie ou encore juste une personne qui voudrait bien me raccompagné sous un parapluie…
Je réfléchissais toujours à qui aurait bien pu me prendre mon parapluie et surtout pourquoi.... Oh une grenouille ! Elles doivent être heureuse par un temps pareille, haaa sa doit être classe d’être une grenouille… Bah quoi vous vous attendiez à ce que je dise quoi ?

Aujourd'hui c'était mon jour de "congé". J'allais essayer de me comporter normalement. Je suis sorti habillé à l’arrache malgré moi car je ne m'étais pas "coiffé", du coup on ne pouvait plus du tout voir mon visage; enfin mes yeux. Je portai une ombrelle noir recouverte de silhouette d'oeil au centre et de chat au bord, enfin un parapluie à la Fukuwa comme dirait certains de mes "fans".

Pour m'amuser j'avais concentrer ma force dans mes paumes et comme d'habitude, des yeux noir sont apparus. En les admirant, je trouvai un parapluie parterre, je le pris en le faisant virevolté puis m'en servit comme une canne de noble.

Je vis une jeune fille peu habillé à la recherche de quelque chose.

Heureusement que ce n'est pas mon type car vu comment son short est bas, n'importe quel inconnu l'aurait pervertie.

J'ouvris le deuxième parapluie et le mit au dessus de sa tête.

<< Oï, oï ~ Petit phénix, fait attention à ton style vestimentaire, à cette heure-ci les vieux pervers, que je ne suis pas soit dit en passant, rode parfois ici.>>

J'étais toujours en train de regardée Madame grenouille quand j'ai arrêté de sentir la pluie tombé sur ma tête. Hourra il fait beau me suis-je écrier tout en me levant et commençant à partir pour rentré chez moi. Je suis vite retombée aussi sec sur le banc, j'avais percuté quelqu'un. Rha me que fait une personne dehors par un temps pareil il faut pas se sentir bien dans sa tête.

La personne était en faite un jeune homme, il possédait un parapluie et une ombrelle plutôt intéressante de par les motifs qui l'ornaient. Oooooo mais, mais c'est mon parapluie qu'il en a. Serait-il possible que ce jeune homme est trouvé mon parapluie et qu'il soit venu ici juste pour me le rendre, haaa je le savais tous les gens ne sont pas encore corrompu. Il existe encore belle et bien de bonne âme charitable dans ce bas monde. A cette pensée j'avais limite des étoiles dans les yeux fière de voir que j'avais raison.

<< Oï, oï ~ Petit phénix, fait attention à ton style vestimentaire, à cette heure-ci les vieux pervers, que je ne suis pas soit dit en passant, rode parfois ici.>>

Petit phénix ? yeah j'ai gagné un surnom d'une personne que je ne connais pas ! je vais monter en niveau. Qu'est-ce qu'il a mon style vestimentaire ? Il est très bien comme sa je voie pas où il veut en venir bref on s'en fou.

Je commençais à avoir froid. Bon d'accord je ne ressens pas grand chose mais avec l'humidité, je perd tout mes moyens.
Je lui rendu son parapluie et dit d'un ton un peu enfantin :

<< Hum...pourrais-tu me dire ou trouver un endroit au sec ?>>

Je me mit sous l'arbre à côté de l'inconnu et regardait le ciel tout en gardant mon ombrelle avec moi.

Petit panda noir me rendit gentiment mon parapluie que j'avais égaré je ne sais toujours pas comment.


Un endroit sec ? mmmm par un temps pareille hors mis une remise qui peut être ouverte par chance dans le parc je ne voie pas quel autre endroit il pourrait y avoir. Ha ! je me souviens quand c'était il y a deux jours j'étais attaquée par une nuée de papillons et m'étais caché dans une vielle remise qui est toujours ouverte. En forçant la porte on peut y rentré facilement par contre mieux vaut fermer derrière soit sous peine de voir l'endroit inondé par ce temps pluvieux.

J'attrapais le bras de petit panda noir et le conduisit devant cette petite remise.


Sur ces belles paroles, j'ai pris mon élan et est foncée dans la porte n’explosant une fois de plus le bras au passage.


Dis-je tout en frottant mon bras endolorie par le coup.

En me prenant soudainement le bras, nous finîmes dans une sorte de remise. Je fermai la porte, pas besoin de tant forcé pour ouvrir une porte quand on en ouvre en acier et en béton, petit.

<< Merci, heu... Ren Komachi, non ?>>

Je disais ça au hasard mais mon petit frère, Kuro, m'avait parlé d'une personne de ce nom.

Le jeune homme referma la porte derrière lui nous laissant dans la remise poussiéreuse il faut l'avoué. J'y pense c'est la première fois que je rentre avec quelqu'un d'autre dedans j'espère que sa tiendra le coup, pas qu'il n'y a pas beaucoup de place et qu'on est à l'étroit mais presque. Pitié faite que la porte de casse pas, aucune envie d'être trempé plus que je ne le suis déjà.


Houa il connait mon nom. Petit panda noir est en fait un medium trop fort ! Fufu je devrais peut-être lui demander ce que me réserve l'avenir qui sait si sa se trouve j'aurais gloire et fortune ou mieux les chats ne me fuirons plus. Ce serait le rêve pouvoir m’approchais de ses somptueuses créatures sans avoir à leurs courir après. Si c'était le cas ce serais vraiment une vie merveilleuse que je mènerais.


Attendant sa réponse je m'amusais à faire des dessins avec la poussière qu'il y avait sur les meubles. J'aime dessiner et c'est pas pour me venter mais c'est une des rares chose que je sais très bien faire.

<< Je ne suis pas medium. Mon petit frère ma parlé d'une personne du même nom te ressemblant, j'ai donc crus que c'était toi et justement, j'avais raison.
Au faite, mon nom est Fukuwa.>>

Je m'assis en tailleur tout en ayant une petit araignée sur ma mains. On entendait la pluie heurtant les fenêtre pleine de buée. Ren, quant à elle, dessinais avec la poussière des meubles apparemment abandonnés.

Zut je ne connaitrais donc pas mon avenir aujourd'hui. Son frère lui a parlé de moi ? Bizarre je n'ai pourtant rencontré personne depuis que je suis dans cette université. Du moins personne avec qui j'ai vraiment parlé.


Fukuwa s'assit sur le sol, il avait une araignée dans la main qui s'amusait à faire le tour de celle ci. La pluie était un peu plus forte que tout à l'heure laissant apparaitre de la buée sur la vitre. Je me suis empressée d'aller dessiner dessus. Bon mon œuvre était plutôt réussi du moins elle ressemblait bien à un paysage, je suis tout de même plus douée avec un papier crayon qu'avec de la buée.

<< Oui vous vous connaissez et vous êtes rencontrés près du bar à sushis.>>

Ren dessinais un paysage sur la fenêtre avec la buée causé par la pluie.

<< Dit petit Fuku, pourquoi tu voulais aller dans un endroit sec ? tu as peur de la pluie ? >>

Je me crispai et rougi légèrement. Normalement je n'ai pas peur de la pluie mais c'est dans cette ville encore pure que la pluie me fait rappeler mon passé, et c'est cela qui m’effraie; bien que j'ai quand même une peur bleu des grands espaces d'eau.

<< Heu...on, on peut dire ça comme ça...>>

Mmmmmm... Oué c'est bien ce que je pensais je n'ai aucun souvenir d'avoir rencontrait quelqu'un ça doit surement être un trou de mémoire.
A l'entente de ma question les joues de Fukuwa se teinta d'un léger rouge et il semblait crisper. Ma question était si déplacé que ça ? bha tant pis au pire le mal et fait.


... Le seul mot qui me vînt en tête : mignon. Nan mais vous trouvez pas ça trop chou de rougir par ce que l'on a peur de l'eau. On aurait tout simplement dit un enfant qui serait embarrassé par ce qu'il vient de dire et qu'on aurait envie de prendre dans ces bras ou alors à un petit chat perdu.
La tentation et la pensé du chat était trop forte, je me suis approchée de lui le pris dans mes bras comme pour le rassuré.

Elle me prit dans ses bras, j'en rougis de plus belle. En regardant le temps infernale, je me calmais avec lui peu à peu, tout en serrant Ren dans mes bras, je dit d'une voix calme.

<< S'il te plait, restons comme ça un moment.>>

Cette affection me calmait, c'était presque comme une grande soeur. C'est cette affection qui me permettait de fuire à mon passé.
Dans les bras de Ren, je finit par m'endormir.

Le fait de l'avoir pris dans mes bras avait l'air de le calmé même si il rougissait toujours. Le temps s'était un peu calme du moins il y avait moi de pluie. Fukuwa agrippa mes bras et me dit d'une voie calme.


Argh comment résisté à ça avec une bouille et une voie pareille. Bien sur qu'on peut resté comme ça et puis il fait pas chaud dans cette remise ceci nous réchauffera un peu.
Le temps passa et Fukuwa s’endormit dans mes bras. Le voir comme sa me fit un peu rigolait, on aurait dit le petit frère que j'ai toujours voulu avoir. Petit frère qui était bien plus grand que moi en taille pour l'âge je n'en ai pas la moindre idée.

Le temps était redevenu calme et s'était le ciel bleu qui régné à présent. Ne voulant pas réveillé petit panda noir, j'ai donc attendu qu'il se réveil de lui même.

Je dormait profondément, dans ce que j'appelle la position du chat. Je me réveilla peu à peu en méritant et me frottant les yeux. Le temps était devenu radieux pendant mon sommeil. Il était temps pour moi de rentrer, je me levai puis sorti de la remise tout en gardant le silence.

Je claquai des doigts, des chats et des corbeaux vinrent à moi et partir avec moi. Les corbeaux s’accrochèrent sur mes bras, d'autres sur les dos des chats. Ensemble, d'un bond, nous nous envolions presque puis partions en direction du centre ville.

<< Ce fut un plaisir de te rencontrer, PetitPhénix.>>