En fuite... [Terminer]

Tu cours, encore et toujours... Tu fuis et ne souhaite surtout pas te retourner. Tu ne sais plus depuis combien de temps tu cours mais tu sais que tu arriveras à les semer. Quoi ? Mais ces horribles monstres, ces êtres dotés d'ailes de diverses couleurs et qui a un moment de leur vie se change en quelque chose dont tu as horreur. Non ce n'est pas la vouivre que tu fuis mais les papillons !
Tu n'en peux plus, tu en as horreur, horriblement peur aussi. Et eux pour une raison que tu ignores et que tu ignoreras toujours, ils te suivent et te collent comme pas possible. Tu trébuches dans ta folle course t'écorchant au passage un genoux.

Tu arrives finalement dans un quartier, plutôt calme pour ne pas dire mort. Cela fait longtemps que tu cours et tu as peur de te retourné et de les voir te suivre encore. Tu regardes à droit et à gauche comme si tu cherchais un endroit où te cacher. Bingo ! Tu viens de tombé sur une fenêtre ouverte. Tu ne cherches pas vraiment à savoir si cette maison est habité, ni par qui, tu rentres tout simplement. Refermant avec fracas la fenêtre de ce qui semble être la cuisine, tu pars ensuite de cacher sous la table où tu te sens un tant soit peu en sécurité.

Tu entends quelques bruits, le bruit que fait quelqu'un qui arrive. Par pure réflex tu fouilles dans les tiroirs pour trouvé une poêle. Tu te places discrètement derrière la porte et tu attends que cette personne vienne.
La porte s'ouvre et toi tu mets un grand coup avec ta pseudo arme dans le visage de l'inconnu. En sécurité une fois de plus tu te souviens de quelque chose... Ici bha ce n'est pas chez toi...

Je dormais profondément quand soudain j'entendis le fracas d'une fenêtre. Je me réveillai puis alla vers le salon, la pièce la plus visitée. Je vis une poêle et tomba comme une tortue sur son dos, j'aurais peu l'évité mais...cela aurait perdu son intérêt. Je fis trébuché la personne en face de moi puis allumai la lumière. Une fille ? Elle me dis quelque chose...ah oui, ce doit être elle qui fuit les papillons du quartier.

<< Oh, excusez moi, je vous ais pris pour un cambrioleur. Vous allez bien ?>> dit-je en me courbant un peu

En réalité, je la prenais juste pour une inconnu qui se serait réfugié chez moi comme on le fait souvent. Je pris la poêle qui se trouvait au sol puis la rangeai, bien que je n'utilise pas vraiment cette ustensile de cuisine mais bon, sait on jamais...

Au défaut d'assommer l'inconnu chez qui tu t'étais gentiment invité, ce dernier t'as fait tombé en beauté. Bref toi tu t'exploses au sol comme une crêpe, non pas sans saignez du nez vu que c'est la première chose qui à frapper le sol.
Toujours allonger sur le sol, que au passage tu trouves bien trop confortable pour te levais, tu voies la lumière s'allumer. Tu te rends compte que l'inconnu est en fait un homme, sans doute plus vieux que toi. Ce dernier et en jean et T-shirt blanc, simple mais cela lui va plutôt bien. Il avait également pas mal de cernes qui se remarquer assez vite.


Ce dernier ranger la poêle que tu lui avais là aussi gentiment pris. Si tu allais bien... drôle de question. Le mec de fait chuter au sol, toi bha comme la gravité t'attire tu te manges méchamment le sol et lui il te demande si tu vas bien... Mais bon vu que toi tu n'es pas l'intelligence incarner tu te relèves le visage en sang car tu n'as pas arrêté ton nez et tu sors comme si tout était normal.


Tu te relèves et frotte un peu ta tenue pour enlevais le peu de poussière qui aurait pu aller dessus. Tu tires ensuite un chaise et t'y assoie, bref tu fais comme chez toi.

Je cherchais ce que l'on me demandait mais, j'avais tout manger il y a peu.

<< Non désolé, par contre il me reste des friandises d'Halloween. Ah non... Le sachet est vide...>>

Je cherchais désespérément des friandises, je me mis à quatre pattes et rampa rapidement à la recherche de friandise, le résultat fut que tout mes vêtements, documents et bocaux vides se trouvèrent entassés dans le salon. Je finis par trouver un pot de confiture et le finit rapidement. J'ais besoin de sucre pour resté concentré et calme. Je pris une veste et glissa mes pieds dans mes chaussures puis sortit, une horde de papillons me fonça dessus mais fini accroché au mur par des cure dents. Je revint avec pleins de friandises et un paquet de kinder bueno que je tendis à l'inconnu en fermant la porte avec mon pied.

<< J'espère ne pas avoir été trop long, je me suis trop assoupie en ce moment alors j'ais oublier de faire des courses.>>

Tu le regardes fouiller dans à peu près tout ces placards. Tu tendis alors une oreille pensant qu'il avait enfin trouvé quelque chose pour te nourrir toi qui t'étais invitée chez lui sans permission.

<< Non désolé, par contre il me reste des friandises d'Halloween. Ah non... Le sachet est vide... >>

Tu le voies alors retourner à sa recherche, allant même jusqu'à ramper au sol pour voir s'il ne lui reste vraiment rien. Tu le voies partir ainsi jusqu'au salon, toi tu as trop la flemme pour bouger ton cul de ta chaise et tu attends donc qu'il revienne.
Tu entends la porte claquer une première fois. Fatiguais t'attendre tu mets tes mains dans les poches de ton sweat-shirt vert et trop grand pour toi. Et là, quel fus pas ta surprise de voir qu'il te reste un paquet de pocky dedans. Tu es au comble du bonheur, tu as retrouvé des pocky, paquet que tu ne quittes jamais ou rarement. Ton amour pour la nourriture à commençait avec un petit paquet comme celui là, pour ensuite grandir au point où quand tu parles de nourriture les gens pensent que tu parles de ton amant.
Après avoir mis quelques un des ces délicieux bâtons dans ta bouche tu entends la porte claquer pour la deuxième fois et là tu voies revenir l'homme de tout à l'heure avec en mais tout un tas de friandise.



Il te tendais le kinder bueno que tu avais demandé sans gène il y a quelques minutes de cela. Ne refusant jamais la nourriture que l'on te tends, tu te l'approprie, l'ouvre et le savoure. Enfin englouti correspondrait sans doute mieux. Tu te tournes alors vers le maître de ces lieux et fini par parlais une fois la pense un peu moi vide.

<< Merci, au fait je me m'appelle Ren. Komachi Ren et toi ? Je peux t'appelais panda ? >>

<< Non, je préférerais que vous m'appelleriez par mon prénom : Ryûzaki.>>

Je rangeai mes affaires rapidement, une fois fini, je pris le cadavre des papillons le brûlai puis jetai ta les cendres par la fenêtre.

<< J'ais crue comprendre que les papillons vous effrayais, vous pouvez rester ici si vous le souhaiter. Le futon se trouve dans le salon près de la fenêtre, à côté se trouve un tiroir avec de quoi se laver et un yukata.>>

Je partis dans la salle de bain pour prendre une douche, je mis un yukata et pris une serviette pour me sécher les cheveux.

Tu pousses un petit soupir, triste de ne pas pouvoir l'appeler comme tu le souhaites. Cette fois-ci tu ne fais pas la difficile, tu n'es pas chez toi et tu le sais. Tout du moins tu viens de te rappeler des bonnes manières à avoir. Manière que tu ne vas sans doute pas respecté bien longtemps, mais bon on peut pas vraiment t'en vouloir après tout tu n'es qu'une idiote qui passe son temps à oublier et à manger.

<< J'ai crue comprendre que les papillons vous effrayais, vous pouvez rester ici si vous le souhaiter. Le futon se trouve dans le salon près de la fenêtre, à côté se trouve un tiroir avec de quoi se laver et un yukata. >>

Tu es surprise comment pouvait-il le savoir tu n'en avais jamais parler à personne. Halala tu es bien naïve Ren, sans doute a-t-il eu les échos du quartier comme quoi il y aurais une jeune fille qui courait pour évité ces bestioles.

Il te propose de rester, toi sans chercher à comprendre tu hoches la tête pour montrer que tu comptes bien rester ici. Quel impolitesse, mais tu es trop fatiguer et tu as THE flemme pour rentré chez toi. Tu te diriges donc vers l'endroit qu'il a indiquer et sort un yukata, avec de la chance il sera à ta taille. Tu es ensuite parti pour trouver la salle de bain. Tu ouvre une porte au hasard... Raté, ici c'est les toilettes, tu en ouvres une autre et tu fais fasse à un placard. Décidément tu n'es vraiment pas douée. Tu entends de l'eau couler et suppose donc que la salle de bain se trouve dans cette direction. Cette fois-ci c'est la bonne, tu atterris devant et attends que la personne à l’intérieur est fini. Tu es certes pas très bien éduquer mais pas au point de rentré dans la salle de bain des autres sans prévenir, d'autant plus s'il y a déjà quelqu'un... Enfin il vaudrais mieux pour toi que ce soit le cas.
Feignante comme tu l'es tu te pose, voir te vautre, sur le sol et t'adosse contre le mur puis tu reprends un pocky en attendant.

J'avais enfin fini, je sortis de la salle de bain et vis Ren contre la porte que j'avais légèrement ouverte pour en sortir.

<< Oh pardon, je ne vous avez pas vu. Vous cherchiez quelque chose ?>>

Tout en discutant avec mon "invitée", j'installai dans le salon une petite lampe de nuit qui avait une option planétarium. J’intaillai son futon ou il était, c'est à dire dans un coin près de la fenêtre et du placard. J'y posai un carnet avec des crayons au cas l'envie d'écrire ou dessiner pouvais lui prendre puis allais vers ma chambre.

<< Je vais me reposé, demain, je ne "travaille" pas. Si vous avez besoin de quelque chose prévenez moi. Bonne nuit mademoiselle Komachi.>> dit d'un léger sourire

Tu sens la porte s'ouvrir et lève la tête comme pour voir ce qui en était la cause alors que tu le savais très bien.

<< Oh pardon, je ne vous avez pas vu. Vous cherchiez quelque chose ? >>

Pendant qu'il était dehors tu en as profité pour te glisser dans la salle de bain et fermer la porte à clé pour être tranquille.
Une fois fini et vêtu de ton yukata qui comme par magie était pile à ta taille puis tu as rejoins Ryuzaki. Vous avez un peu parler de tout et de rien pendant qu'il installer ton futon près de la fenêtre. Du coin de l'oeil du as bien repéré le carnet et les crayons. Si il y a bien une chose que tu apprécies autant que la nourriture c'est bien dessiner.



Tu es curieuse, tu te demandes quel genre de travail il peut bien faire. Ta curiosité étant bien trop forte tu te décides à posé la question combien même il l'ignorera peut-être tout simplement.


Tu pose directement la question, tu ne cherches pas un moyen d'abordé le sujet. C'est une de tes rares qualités ou défaut si tu as la langue trop pendu. Au moins personne ne peut te reprocher de ne pas être honnête.

J'ouvris la porte de ma chambre lentement et répondu avant de la refermé derrière moi.

<< De la recherche. C'est plus une occupations mais cela n'a rien d'amusant, cela est juste "intéressent" alors... je préfère appelé ça un "travail".>>

Dans ma chambre, je m'installai dans mon futon en regardant la petite ligne de lumière que s'y trouvait à côté. Je réalisai que les pièces de ma maison était comme des tableaux ou figées dans le temps, le décors ne changeait pas vraiment ainsi que l'emplacement des "petits détails". Je pris la peluche de panda qui se trouvait à mes côtés et m'endormi avec.
J'entendis un grattement à la fenêtre, c'était un corbeau, celui de mon ami Fukuwa qui était assit en tailleur sur un lampadaire un peu plus loin. Il me donna de légères informations sur Ren Komachi, il me salua puis repartit avec son corbeau.

Ryuzaki partit ensuite se coucher. Ce dernier avais attisé ta curiosité plutôt que de la réduite. Quel recherche ? Pourquoi faire ? et en quoi est-ce intéressant ? C'était maintenant les questions qui te trottaient dans la tête et qui allaient sans doute y resté un moment avant que tu les oublies.

Tu t'es littéralement laisser tombée sur ton futon, regardant le plafond. Tu n'avais absolument pas sommeille et voulais faire quelque chose. Tu t'es souvenue que Ryuzaki avait laisser un carnet avec quelques crayons près de la lampe. Tu t'es empressée de les prendre et as allumé la petite lampe à côté. Douée comme tu l'es tu as appuyé sur le bouton mettant en marche l'option planétarium. D'un coup du hésite, dessiné ce que montre la lampe ou le paysage de nuit que tu peux voir par la fenêtre ? Zut pas le temps de se poser la question. Tu décides donc de faire les deux. Te mettant en tailleur, position que tu as souvent l'habitude de prendre pour dessiner, tu t'attaques aux étoiles. Une fois ce dernier fini et plutôt réussi d'après toi, tu fais le paysage de dehors, ces arbres et ces quelques lampadaire marchant une fois sur deux te donne une idée. Au lieu de faire un simple paysage tu commences à dessiner pour une raison que tu ne sais pas vraiment, une scène de crime. Un endroit lugubre et sombre, les murs en sang avec seulement la nuit pour effacer ce qui c'est passé. Tu en es fière de ton dessin en noir et blanc. Il n'est pas facile de deviné ce à quoi tu pensais à ce moment mais cela n'a pas d’importance.

Une fois fini tu ressens la fatigue et tombe directement dans les bras de Morphée. Sans t'en rendre compte c'était déjà le matin. Tu te réveilles avec tes cheveux en bataille et te dirige vers la cuisine. Sa ne fait qu'un jour que tu es là mais tu as déjà repéré où se trouvé la nourriture. Décidément tu resteras toujours fidèle à toi même.
Tu t'assoies sur une chaise et commence à manger t'es tartine de nutella au pain car oui chez toi ce n'est pas de pain au nutella mais belle est bien l'inverse.

Je dormais profondément mais me réveilla à moitier, j'avais pleins d'autres couvertures, je les sorti toutes. Il y avait une grande montagne de douceur. Je me trouvais sur le sommet qui était illuminé par le soleil du matin. Je me rendormis sans faire attention au temps.
Je me réveillai un peu plus tard après avoir bien dormi, il était environ 12h00. Je rangeai les couvertures à leur place puis allai me préparé un café bien sucré. Je le bus puis allai dans le salon.

<< Bonjour mademoiselle Komachi, vous avez bien dormi et déjeuner ?>>

Je dois avouer que les heures de repos me rende légèrement plus agréable...

Tu lèves la tête vers l'interlocuteur, à moitié réveillé et avec les pocky qui dépasse de ta bouche, pocky que tu avais trouvais dans l'autre poche de ta veste, tu avales le tout à une vitesse fulgurante. Puis tu tends un pocky à Ryuzaki lui souriant avant de répondre à sa question.


Encore... Tu es encore en train de manger. Décidément tu ne t'arrêteras jamais. Beaucoup de gens de dise de te calmer et de moins manger sous risque de prendre du poids mais tu ne les écoutes pas. Après tout tu ne grossis pas, c'est bien là un gros avantage pour toi.

Par apport à hier tu es bien plus souriante et de bonne humeur. Pourquoi ? Tout simplement par ce que de un tu n'as plus une meute de papillons aux fesses et que de deux, tu manges... Comment calmé une Ren en colère ou surexcité, réponse : montrait lui de la bouffe, elle fera n'importe quoi pour l'avoir et se calmera donc.
Bref de bonne humeur que tu es tu décides que tu as envie de joué avec Ryuzaki. A quoi tu n'en sais rien mais tu veux jouer c'est sur. Tu regardes donc ce dernier avec de grand yeux pétillant tel un enfant voulant se dépenser en jouant avec un camarade.

Elle me tendu un pocky mais je le refusai.

<< Merci mais je viens de prendre un café.>>

Le temps passait puis je remarquais que Ren me regardait bizarrement, tel un enfant ayant une grande envie de jouer. Je sortie une caisse de jouets, de poupées et d'autres produits dérivés pour enfants. Je les posai à mes côté et m'assis en regardant un de mes carnets "spécial".

<< Merci mais je viens de prendre un café. >>

Il venait de refuser un pocky. Ton pocky que tu lui tendais gentiment. Tu tiras une petite moue déçu qu'il n'en veuille pas.

Quelque minutes plus tard tu le vis se lever pour aller chercher tu ne sais quoi. Il était revenu avec une caisse remplie de produit dérivé pour jouer. Tu avais été comprise et tu allais pouvoir dépensé un peu de ta débordante énergie qui fatigue une personne juste en te regardant. Tu commences à sortir des jouets un peu partout, bien entendu tu rangeras à la fin. Tu as peut-être le QI d'une huitre et les bonnes manières d'un gosse mal éduquer mais tu n'es pas bordélique chez les autres. Oui seulement chez les autres par ce que chez toi... Bha on dirait qu'une tornade ou qu'un cambriolage à eu lieu. Il y en a de partout, vraiment de partout.
Bref une fois que tu te lasses de ces jeux, tu remarques que Ryuzaki est penché sur un carnet qui t'intrigue. Tu passe alors la tête par dessus son épaule pour voir de quoi il s'agit.

Je sentis Ren se penché pour voir le contenue de mon carnet, ce système est un test de curiosité pour savoir si je pouvais lire tranquillement.

<< La curiosité visuelle est un vilain défaut...>> dit en refermant brusquement mon carnet qui avait des pages vierges

J'étais assez déçu de son comportement mais bon... c'est sa nature et ce n'est pas à moi de lui dire ce qu'elle doit faire. Je mis mon manteau et me tenu droit. Je sorti pour aller acheté un menu japonais, car moi est la cuisine c'est égale à 0% de réussite. Je revins chez moi, rangeai mon manteau puis m'installa avec mon ordinateur devant la télévision. A la télévision je regardais les informations et sur mon ordinateur, les cours en direct de l'université de la ville.

Un vilain défaut certes mais tellement utile par moment. Toi tu es surprise de voir que le livre était blanc et tu ne comprends pas non plus où il venait en venir. Pour toi être curieuse fait partit de ta nature, tu as besoin de savoir se que font les autres, besoin d'être mise au courant de tout. Pourquoi ? Tu ne le sais toi même pas.

Tu as aperçu Ryuzaki enfiler son manteau en se tenant droit. Cela lui faisait gagner bon nombres de centimètres et le rendait alors plus grand. Puis ce dernier est sorti sans dire où il allait ni se qu'il allait faire.
Tu es de nouveaux seule, ça ne te dérange pas car, après tout être seule, tu en as pris l'habitude il y a bien longtemps. Ne serais que quand tu rentres le soir chez toi, il n'y a jamais personne. Pas que ça te déranges loin de là mais bon un peu de compagnie de temps en temps ne fait jamais de mal à personne.

Bref, tu recommences à avoir faim et te rends compte que tu as fini ton dernier pocky. Panique au niveau de ton cerveau à moitié vide. Une réunion d'urgence se met en place, se qui te reste de neurones se demande si tu dois sortir prendre à manger ou fouiller dans les placards pour te préparer de quoi manger justement. La décision prise tu te lèves et te diriges vers les placards. Là tu sors un poêle et des oeufs que tu as réussi à trouver par hasard. tu commence à casser les oeufs et à faire une omelette, tout du moins tu essayes car tu n'es pas ce qu'il y a de plus douée en cuisine. Il ne t'a pas fallu longtemps avant de faire tombé un oeuf qui explose gentiment sur le sol. Voulant nettoyé tu cherches dans les étagères se qui pourrait faire l'affaire. Tu trouves ton bonheur, mais manque de bol en essayant d'attraper le torchon tu fais tomber le paquet de farine te rendant blanc comme neige, toi et tout ce qui était autour...

Tu entends le bruit de la porte signe que Ryuzaki est rentré. Tu sors à peine la tête de la cuisine pour voir ce qu'il fait. Tu n'oses pas t'approcher de peur de te faire grondé pour ta bêtise. Tu le voies s'installer sur le canapé, télé allumait sur les infos et pc sur la table sur tu ne sais quel site.
Dans un ultime espoir qui ne viendra sans doute jamais à toi, tu t'assoies par terre et attends que le tout le bordel que tu as foutu se nettoie tout seul...

Les cours était finis, j’éteignis mon ordinateur et la télévision puis allai dans ma chambre qui se trouvait devant la cuisine à cause de la petite taille de mon habitation.
Je fis un carnage causé apparemment par mon invité.

<< Je n'ais été contre le fait que vous vous mettiez à l'aise mais voyez vous, par preuve de politesse je pense, faire la cuisine chez un inconnu de plus sans le prévenir, je trouve ça fort déplaisant... Et vous ne faite pas l'effort de réparé votre "carnage".>>

Je réparai rapidement les erreurs de Ren puis pris une serviette pour lui retirer la farine qui était sur elle, je m'arrêtai à son cou puis tenu sa tête.

<< Je n'aime pas trop que l'on fouille dans mes affaires sans mon accord, alors ne touchez à rien sans mon accord, sauf ce qui vous appartient vraiment. D'accord ?>>

Tu entends des bruits de pas se rapproché de la cuisine curieuse et voyant que rien en c'est nettoyé tout seul tu daignes te lever pour voir s'il s'agit de Ryuzaki.

<< Je n'ai été contre le fait que vous vous mettiez à l'aise mais voyez vous, par preuve de politesse je pense, faire la cuisine chez un inconnu de plus sans le prévenir, je trouve ça fort déplaisant... Et vous ne faite pas l'effort de réparé votre "carnage". >>

Il est vrai que tu as bien un sacré bazars mais ce n'était pas volontaire et voyant qu'en essayant de nettoyé le cas c'est aggravé tu as juste voulu ne pas encore empiré la situation. Tu aurais bien voulu demander la permission mais il n'y avait personne à ce moment là et tu ne voulais pas mourir de faim toute seule. Enfin il est vrai que tu aurais pu commander du tout prêt ou attendre que le maître de la maison rentre. Tu peux t'estimer heureuse que Ryuzaki ne t'est pas plus brimer que ce qu'il vient de faire.

Ce dernier à commençais à ranger ton foutoir pendant que toi tu te faisais toute petite. Il a ensuite eu l'idée de ne pas te laisser pleine de farine en prenant une serviette et en t'essuyant la tête. A un moment donné il c'est arrêté au niveau de ton cou, te tenant la tête afin que tu le regardes alors qu'il s’apprêtait à parler.



Tu hoches la tête signe qu'à partir de maintenant tu vas te caler dans un coin et plus bouger jusqu'à ce qu'on est oublier ta bêtise. Une fois propre, tu te lèves et va de mettre littéralement dans un coin. Tu prends ensuite le carnet où tu as dessiné la veille et t'amuses à refaire l'appartement de Ryuzaki car tu n'as pas d'autre idée en tête.

J'étais fatiguer de ma journée et partit dans ma chambre. Sur mon futon je regardais le carnet dessin que je gardais pour moi.
Levant le dessin au ciel, je fixais cette personne. Combien de temps est passé depuis ce jour, hein Ryugami ? Je soupirai puis rangeai le carnet à sa place. Il faisait maintenant nuit, j'étais sous la fenêtre en train de regarder les étoiles en pensant au paroles que Fukuwa m'avait dit par le passé : "Tiens prend ça, ça vaut une année. Hein ? Ah bah, je sais que Ryugami te manque et je sais comment faire entendre la parole des défunt, alors je me suis dit, que si l'envie te prenais, tu pouvais échanger ton esprit contre le sien. Un flacon vaut 1 journée mais si l'esprit qui n'appartient pas à ton corps décide de partir, alors la permutation est terminé.".

<< Bah, ça vaut le coup d'essayer...>> me dis-je

Je sortis un flacon qui se trouvait dans une caisse, dans les placards de ma chambre, et hésitant légèrement, je le bus. Je me sentis fatiguer puis m'endormit puis je vis Ryugami, lui ne pouvait pas sentir ma présence ni entendre le son de ma voix. Lorsqu'il se vit dans la glace il fut légèrement surprit, ce n'était pas le reflet de Ryugami Sabaki, mais le mien. Il comprit vite la situation et mis une chemise ressemblant au dessin, j'en avais acheté une presque identique au cas où j'essaierais la "potion" que Fukuwa m'avait donné; il prêtent ne pas l'être mais il a une âme de scientifique, toujours envie de tenter des expériences.
J'étais comme relié à Ryugami, lorsqu'il avançait, je le faisais aussi. Il vit Ren et alla la voire.

<< Dis tu pourrais partir ? J'ais des choses à faire et je n'ais pas de double des clés.>> dit-il

Sacré Ryugami, toujours aussi direct, il a pas vraiment changé depuis le temps...

code couleur de Ryugami : #CC6600

Tu dessinais encore et toujours ayant déjà remplis bon nombre de pages du carnet. Tu commences à te lasser, enfin surtout à ne plus avoir d'idée. Tu as fait de multiple dessiné, une table, une lampe tu es même aller jusqu'à redessiné la télévision. Au bout d'un moment tu voies Ryuzaki se dirigeait vers toi. Instinctivement tu te lèves, pourquoi t'en sais rien sans doute tu en as marre de rester assise sur le sol.

<< Dis tu pourrais partir ? J'ai des choses à faire et je n'ai pas de double des clés. >>

Tu ne comprends pas. Il habite pourtant bien ici alors pourquoi dit-il qu'il n'a pas de double... Bref tu ne cherches pas plus que ça à comprendre mais, curieuse comme tu l'es tu as envie de savoir ce qu'il compte faire. D'autant plus s'il doit te mettre à la porte.


Beau rattrapage, tu as failli l'appelais de la manière qu'il ne voulait pas. Par chance tu t'en es souvenu à temps. Tu as envie d'aider, tout simplement par ce que tu t'ennuies. Qu'importe la tâche que l'on te demandera de faire, tu le feras du mieux que tu peux.

<< Ah tu veux m'aider ? Et bien, sors d'ici, je dois faire une recherche personnel et seul.>> dit-il

Il veux sûrement parler d'une recherche sur ce qui c'est passé après sa mort...
Il prit Ren par le bras et l'emmena jusqu'à l'entrée et lui ouvrit la port en luis faisant signe de sortir. Il prit une boîte de pocky et la donna de force à celle-ci puis la mit à la porte. Il alla dans ma chambre et regardait mes placards, il trouva le carnet où j'avais raconté ce qu'il c'était passé après sa mort. "J'ais quitter la Wammy's House avec un ami qui m'y a aidé...J'essaye maintenant d'avoir une vie calme et normale." lisait-il. Puis il trouva les flacon et en bût un en souriant légèrement comme il le faisait quand quelque chose l'amusait.
Une fois retourné à mon état normal, je mis à jour le carnet qu'avait prit Ryugami puis remis un tee-shirt. Je m'endormis ensuite, en attendant le lendemain.